Thierry
Bardini
Marc Boucher
Jean-Paul Boudreau
Jean-Claude Bustros
Luc Courchesne
Nina Czegledy
Jean Dubois
Bruce Elder
Luc Faucher
Josette
Féral
Herve Fischer
Frédéric Fournier
Jean Gagnon
Nelson Henricks
Lynn Hughes
Michaël La Chance
Wieslaw Michalak
Francine Perinet
Kathleen Pirrie-Adams
Louise Poissant
Izabella Pruska-Oldenhof
Yves Racicot
Patrice Renaud
Edward Slopek
Don Snyder
Pierre Tremblay
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Hervé Fischer
Notice biographique
Actuellement professeur associé à l'UQAM, membre
du CIAM, Hervé Fischer a été directeur
de la Chaire Daniel Langlois en arts et technologies numériques à Concordia.
C'est dans ce cadre, qu'il a développé le projet
du média lab québécois Hexagram en 2000-2002.
Il est l'auteur de nombreux livres, dont Mythanalyse du futur
(2000, sur www.hervefischer.ca), Le choc du numérique
(2001), CyberProméthée
(2002), Le romantisme numérique (2003), Les défis
du cybermonde (direction, 2003), La planète hyper (2004),
Le déclin de l'empire hollywoodien (2004), La relève
des dieux (2006).
Il a fondé avec Ginette Major La Cité des arts
et des nouvelles technologies de Montréal en 1985, organisé les
expositions Images du futur sur les arts numériques de
1986 à 1997, fondé le festival Téléscience
en 1990, le MIM - Marché international du multimédia
- en 1993, ouvert le premier Café électronique
au Canada en 1995. Il est président de la Fédération
internationale des associations de multimédia et de Science
pour tous - le regroupement des organismes de culture scientifique
et technique au Québec
- depuis 1998.
Conférence
" Les métaphores de l’écran "
Écrans de protection ou de projection, de quoi nous protègent-ils?
Où nous
projettent-ils? Depuis la dénonciation par Guy Debord de la société du
spectacle, nous voilà rendus encore plus loin, dans la société des écrans.
Imprimerie du 3e millénaire, vitraux cathodiques d’un retour au
dualisme nous donnant accès à un ailleurs virtuel où nous
investissons nos mythes, instruments de notre nouvelle puissance ubiquiste ou
gadgets ubuesques du monde schopenhauerien comme jeu et comme représentation,
les écrans de notre temps, dans toutes les déclinaisons de leurs
colorations artificielles, de leurs fonctions symboliques et de leur déréalisation
cannibalesque, nous aspirent dans l’âge du numérique. |